Giovanna 21

Continua la pubblicazione degli Atti del Processo a Santa Giovanna d’Arco. Siamo alla XXI puntata. Per le precedenti, puoi risalire a ritroso partendo dalla XX puntata, a questo link: http://www.ilgrandeinquisitore.it/wp-admin/post.php?post=2984&action=edit IV

 

Piccardia- Amiens Chiesa Cattedrale

Piccardia- Amiens Chiesa Cattedrale

Le mardi 13 mars, l’évêque se rendit à la prison de Jeanne avec cinq assesseurs, et frère Jean Le Maître, vicaire de l’Inquisiteur, qui désormais allait diriger le procès avec lui.
(Martedì 13 Marzo, il vescovo si recò alla prigione di Giovanna d’Arco con 5 assessori, e con Fra’ Jean Le Maître, vicario dell’Inquisitore, che ormai era destinato a dirigere il processo con lui)

 

 

JEAN DE LA FONTAINE. – Quel fut le signe baillé à votre Roi ?
(Quale fu il segno dato al vostro Re ?)
JEANNE. – Seriez-vous contents que je me parjurasse ?
(Sareste contento se io diventassi una spergiura ?)

JEAN LE MAITRE. – Avez-vous juré et promis à sainte Catherine de ne pas dire ce signe ?
(Avete giurato e promesso a Santa Caterina di non rivelare questo segno ?)

JEANNE. – J’ai juré et promis de ne dire ce signe, et de moi-même, pour ce qu’on me chargeait trop de le dire. Et adonc je me suis dit à moi-même : je promets que je n’en parlerai plus à aucun homme. Pourtant je dirai que le signe, ce fut que l’ange donnait certitude à mon Roi en lui apportant la couronne, et en lui disant qu’il aurait tout le royaume de France entièrement, à l’aide de Dieu et moyennant son labeur ; et qu’il me mit en besogne, c’est à savoir qu’il me baillât des gens d’armes, autrement il ne serait mie de sitôt couronné et sacré.
(Ho giurato e promesso di non rivelare questo segno e, quanto a me, di non essere obbligata a dirlo. E dunque, mi sono detta: prometto di non parlarne con persona alcuna. Perciò, dirò: il segno fu che l’angelo dava certezza al mio Re, mentre gli portava la corona, che avrebbe avuto l’intero regno di Francia, con l’aiuto di Dio, e in ricompensa dei suoi sforzi; che mi avrebbe messo nella prova, senza la quale egli non sarebbe stato incoronato e consacrato così presto)

Piccardia : cartina geografica della Francia attuale

Piccardia : cartina geografica della Francia attuale

LA FONTAINE. – Depuis hier avez-vous parlé à sainte Catherine ?
(Da ieri, avete parlato a Santa Caterina ?)
JEANNE. – Depuis je l’ai ouïe, et toutefois elle m’a dit plusieurs fois que je réponde hardiment aux juges de ce qu’ils me demanderont touchant mon procès.
(L’ho sentita, e tuttavia mi ha detto di rispondere con coraggio ai giudici su ciò che mi avrebbero domandato a proposito del processo)
(Nota 1 – Jeanne dice – tuttavia, invece di -infatti. Probabilmente, lei risponde a una sua propria domanda interiore: loro vogliono che io dica che la Santa mi ha abbandonata, e< tuttavia> lei mi ha detto di rispondere con coraggio)

LA FONTAINE. – En quelle manière l’ange apporta-t-il la couronne, et la mit-il sur la tête de votre Roi ?
(Come ha fatto l’angelo a portare la corona, e metterla sulla testa del vostro Re ?
JEANNE. – Elle fut bien baillée à un archevêque que, c’est à savoir celui de Reims, comme il me semble, en la présence du Roi. Et ledit archevêque la reçut et la bailla au Roi. J’étais moi-même présente. Elle fut mise en trésor du Roi. (La corona fu data a un arcivescovo – mi pare quello di Reims – che la ricevette a la diede al Re. Io stressa ero presente).
(Nota 2 – Qui, il testo francese è oscuro e lacunoso: abbiamo tradotto ad sensum)

Piccardia -Laon : La-porte-Dardon

Piccardia -Laon : La-porte-Dardon

LA FONTAINE. – En quel lieu fut-elle apportée ?
(Dove fu consegnata ?)
JEANNE. – Ce fut en la chambre du Roi au château de Chinon.
(Nella camera del Re, al castello di Chinon)

LA FONTAINE. – Quel jour et à quelle heure ?
(Che giorno, e a che ora ?)
JEANNE. – Du jour, je ne sais, et de l’heure, il était haute heure. Autrement n’ai-je mémoire de l’heure. Et du mois, en mois d’avril ou de mars, comme il me semble. Au mois d’avril prochain, ou en ce présent mois, il y aura deux ans. C’était après Pâques.
(Del giorno, non so, e dell’ora, era giunto il momento. Precisamente, non ricordo l’ora. Quanto al mese, era aprile o maggio, mi sembra. Il prossimo mese di aprile, o questo mese, saranno passati due anni. Era dopo Pasqua)

LA FONTAINE. – La première journée que vous vîtes le signe, votre Roi le vit-il ?
(La prima volta che voi vedeste il segno, lo vide anche il vostro Re ?)
JEANNE. – Oui, et il l’eut lui-même.
(Sì, lo ebbe anche lui)

LA FONTAINE. – De quelle matière était la couronne ?
(Di che materia era fatta la corona ?)
JEANNE. – C’est bon à savoir qu’elle était de fin or, et était si riche que je ne saurais en nombrer et apprécier la richesse. La couronne signifiait qu’il tiendrait le royaume de France.
(Era d’oro fino, ed era così ricca, che non saprei descriverne e apprezzarne la ricchezza. La corona era il segno che egli avrebbe avuto il Regno di Francia)

LA FONTAINE. – Y avait-il pierreries ?
(C’erano anche delle pietre preziose ?)
JEANNE. – Je vous ai dit ce que j’en sais !
(Vi ho detto che non lo so !)

LA FONTAINE. – L’avez-vous maniée ou baisée ?
(L’avete maneggiata o baciata ?)
JEANNE. – Non.
(No)

Charles Péguy: I Misteri

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LA FONTAINE – L’ange qui l’apporta venait-il de haut ou venait-il par terre ?
(L’angelo che la portò veniva dall’alto, o dalla terra ?)
JEANNE. – II vint de haut. J’entends qu’il venait par le commandement de Notre-Seigneur. Il entra par l’huis de la chambre.
(Venne dall’alto. Credo che venisse per comando di Nostro Signore. Entrò dalla porta)

LA FONTAINE. – Venait-il par terre et marchait-il depuis l’huis de la chambre ?
(Veniva da terra e camminava avendo superato la porta della stanza ?)
JEANNE. – Quand il vint devant le Roi, il fit révérence au Roi, en s’inclinant devant lui, et prononçant les paroles que j’ai dites du signe. Avec cela, l’ange remémorait au Roi la belle patience qu’il avait eue dans les grandes tribulations qui lui étaient advenues. Depuis l’huis, l’ange marchait et allait sur la terre, en venant au Roi.
(Quando venne davanti al Re, gli fece una riverenza, inchinandosi a lui, e pronunciando le parole che ho detto sul segno. Inoltre, l’angelo ricordava al Re la grande pazienza che aveva avuto nelle sue grandi tribolazioni. Superata la porta, l’angelo camminava e andava per terra, avvicinandosi al Re)

 

Santa Caterina e San Michele (che con Santa Margherita) erano i Santi mediatori delle rivelazioni Divine a Jeanne

Santa Caterina e San Michele (che con Santa Margherita) erano i Santi mediatori delle rivelazioni Divine a Jeanne

 

LA FONTAINE. – Quel espace y avait-il de l’huis jusqu’au Roi.
(Che distanza c’é fra la porta fino al Re ?)
JEANNE. – Comme je pense, il y avait bien l’espace de la longueur d’une lance. Et par où il était venu, l’ange s’en retourna. Quand il vint, je l’accompagnai, et allai avec lui par les degrés à la chambre du Roi, et entra l’ange le premier, et puis, moi-même, je dis au Roi : Sire, voilà votre signe, prenez-le.
(Credo che ci fosse lo spazio della lunghezza di una lancia. E l’angelo tornò da dove era venuto. Quando arrivò, io lo accompagnai, e andai con lui lunghe gli scalini fino alla camera del Re. L’angelo entrò per primo, e dopo di lui, io dissi al Re: Sire, ecco il vostro segno, prendetelo!)

LA FONTAINE. – En quel lieu l’ange vous apparut-il ?
(Dove vi appariva l’angelo ?)
JEANNE. – J’étais presque toujours en prière, afin que Dieu envoyât le signe au Roi, et j’étais en mon logis, chez une bonne femme près du château de Chinon, quand il vint. Et puis nous nous en allâmes ensemble au Roi. Il était bien accompagné d’autres anges avec lui, que chacun ne voyait pas. Ce n’eût été pour l’amour de moi, et pour m’ôter hors de la peine des gens qui m’arguaient, je crois bien que plusieurs gens qui virent l’ange ne l’eussent pas vu.
(Ero quasi sempre in preghiera, perché Dio mandasse il segno al Re, ed ero nel moi appartamento, da una buona donna presso il castello di Chinon, quando venne. Noi ce ne andammo insieme dal Re. Era accompagnato da altri angeli, che nessuno vedeva. Se non fosse stato per l’amore verso di me, e per togliermi dalla pena delle persone che argomentavano con me, credo che molte persone che videro l’angelo, non l’avrebbero visto)

LA FONTAINE. – Tous ceux qui étaient là avec le Roi virent-ils l’ange ?
(Tutti quelli che erano col Re, videro l’angelo ?)
JEANNE. – Je pense que l’archevêque de Reims, les seigneurs d’Alençon et de la Trémoïlle, et Charles de Bourbon le virent. Quant à ce qui est de la couronne, plusieurs gens d’église et autres la virent, qui ne virent pas l’ange.
(Credo che l’arcivescovo di Reims, i signori di Alençon e di Trémoille, e Charles di Borbone lo videro. Quanto alla corona, parecchie persone di chiesa e altri la videro, mentre non videro l’angelo)

 

Giovanna d'Arco- Il mito

Giovanna d’Arco- Il mito

 

LA FONTAINE. – De quelle figure et quelle grandeur était ledit ange ?
(Che figura e che grandezza aveva l’angelo ?)
JEANNE. – Je n’ai point songé de le dire, et demain j’en répondrai.
(Non ci penso neanche a dirlo. Domani risponderò)

LA FONTAINE. – Ceux qui étaient en la compagnie de l’ange étaient-ils tous d’une même figure ?   (Quelli che insieme all’angelo, avevano tutti la stessa figura ?)
(Nota 2 – Fin qui, l’interrogazione sembra quella di un postulatore di una causa dei Santi, piuttosto che di un Pubblico Ministero in Processo di questa portata !)
JEANNE. – Ils s’entre-ressemblaient volontiers pour aucuns, et les autres non, en la manière que je les voyais. Les aucuns avaient des ailes, et il en était de couronnés, et d’autres non. Étaient en leur compagnie saintes Catherine et Marguerite, qui furent avec l’ange dessus dit, et les autres anges aussi, jusque dedans la chambre du Roi.
(Per alcuni caratteri, essi si somigliavano, e per altri no, in base a ciò che vedevo. Alcuni avevano le ali. Altri erano incoronati; altri non lo erano. Santa Caterina e Santa Margherita erano con loro, insieme ad altri angeli, finché non giunsero nella camera del Re)

LA FONTAINE. – Comment se départit l’ange de vous ?
(Come si allontanò da voi, l’angelo ?)
JEANNE. – II se départit de moi en la petite chapelle. Et je fus bien courroucée de son départ, et je pleurais. Je m’en fusse volontiers allée avec lui, c’est à savoir mon âme.
(Se ne andò nella piccola cappella. Fui triste per la sua partenza, e piangevo. Me ne sarei andata volentieri con lui, intendo la mia anima)

LA FONTAINE. – Au départ de l’ange, demeurâtes-vous joyeuse, ou effrayée, ou en grand’peur ? (Quando l’angelo se ne andò, rimaneste felice, affranta, o impaurita ?)
JEANNE. – II ne me laissa point en peur ni effrayée. Mais j’étais courroucée de son départ.
(Né impaurita, né affranta. Ero triste per la sua partenza)

 

La Guerra dei Cento Anni - Guerra di religione, se mai ce ne fu una!

La Guerra dei Cento Anni – Guerra di religione, se mai ce ne fu una!

LA FONTAINE. – Fut-ce par le mérite de vous que Dieu envoya son ange ?
(E’ per un qualche vostro merito che Dio inviò l’angelo ?)
JEANNE. – II venait pour grande chose. Ce fut en espérance que le Roi croirait ce signe, et qu’on cesserait de m’arguer, et pour donner secours aux bonnes gens d’Orléans, et aussi pour le mérite du Roi et du bon duc d’Orléans.
(Veniva per una grande missione, e ciò che il Re credesse in questo segno, e che io non fossi più contrastata. Era anche per aiutare gli abitanti di Orléans, per i meriti del Re e del duca d’Orléans)

LA FONTAINE. – Pourquoi vous, plutôt qu’une autre ?
(Perché voi, e non un’altra ?)
JEANNE. – II plut à Dieu ainsi faire par une simple pucelle, pour rebouter les adversaires du Roi. (A Dio piacque di fare così per una semplice pulzella, per respingere i nemici del Re)

 

LA FONTAINE. – A-t-il été dit à vous où l’ange avait pris cette couronne ?
(Vi ha detto dove l’angelo aveva preso questa corona ?)
JEANNE. – Elle a été apportée de par Dieu. Il n’y a orfèvre au monde qui la sût faire si belle ou si riche. Où l’ange la prit, je m’en rapporte à Dieu, et je ne sais point autrement où elle fut prise. (L’ha portata direttamente Dio. Non c’è orafo al mondo che avrebbe potuto farla così bella e ricca. Dove l’angelo l’abbia presa, lo sa Dio, perché io non lo so)
(Nota 3 – L’accusatore cerca di conoscere i complici eventuali di Jeanne, che si limita a riportare il tutto all’intervento diretto di Dio!)

LA FONTAINE. – Cette couronne fleurait-elle point bon et avait-elle bonne odeur ? Était-elle séduisante ?
(Questa corona era inghirlandata, e aveva dunque un buon profumo ?)
JEANNE. – Je n’ai point mémoire de cela. Je m’en aviserai. Elle sent bon et sentira, mais qu’elle soit bien gardée, ainsi qu’il convient.
(Non ricordo, ma cercherò di ricordarmene. Essa ha un buon profumo e lo avrà, e sarà protetta come si conviene)

LA FONTAINE. – Comment était-elle ?
(Com’era fatta ?)
JEANNE. – Elle était en manière de couronne.
(Era fatta come sono fatte le corone)

LA FONTAINE. – L’ange vous a-t-il écrit des lettres ?
(L’angelo vi ha scritto delle lettere ?)
(Nota 4 – O la domanda è stupida, o nasconde il solito tentativo di scoprire complici eventuali di Jeanne)
JEANNE. – Non. (No)

LA FONTAINE. – Quel signe eurent le Roi, les gens qui étaient avec lui, et vous, de croire que c’était un ange ?
(Quale prova ebbero il Re e le persone che erano con lui, e voi stessa, per credere che si trattasse di un angelo ?)
JEANNE. – Le Roi le crut par l’enseignement des gens d’Église qui là étaient, et par le signe de la couronne.
(Il Re lo ha creduto per ciò che gli dissero gli uomini di Chiesa che erano là, e per il segno impresso sulla corona)

LA FONTAINE. – Comment les gens d’Église surent-ils que c’était un ange ?
(Come seppero gli uomini di Chies ache era un angelo ?)
JEANNE. – Par leur science, et parce qu’ils étaient clercs.
(Per la loro scienza e perché erano dei consacrati)

LA FONTAINE. – Que savez-vous de certain prêtre concubinaire ?
(Cosa sapete di un prete concubino ?)
(Nota 5 – Non si capisce cosa avrebbe potuto cambiare, agli effetti dell’Accusa, la presenza di un prete concubino!)
JEANNE. – Je ne sais rien.
(Non ne so niente)

 

Carlo VII sul trono - miniatura XV secolo

Carlo VII sul trono -miniatura XV secolo

 

LA FONTAINE. – Et d’une tasse perdue que vous avez indiquée, à ce qu’on dit ?
( E di una tassa perduta, che sarebbe stata indicata da voi ?)
JEANNE. – De tout cela, je ne sais rien, ni oncques n’en ouïs parler.
(Non ne so niente, e non ne ho sentito parlare)

LA FONTAINE. – Quand vous êtes allée devant Paris, avez-vous eu révélation de vos voix d’y aller?
(Di andare di fronte alle porte di Parigi, sono le state le voci a dirvelo ?)
JEANNE. – Non. J’y allai à la requête des gentilshommes qui voulaient faire une escarmouche ou une vaillance d’armes. Et j’avais bien l’intention d’aller outre et de passer les fossés.
(No. Ci andai su richiesta di alcuni che volevano fare un attacco. E avevo infatti deciso di superare le mura superando il fossato)

LA FONTAINE. – Avez-vous eu révélation d’aller devant La Charité ?
(Avete avuto in rivelazione di andare davanti alla Charitè ?)
(Nota 6– Porta di Parigi)
JEANNE. – Non, mais par la requête des gens d’armes ainsi comme autrefois je l’ai dit.
(No, fu la richiesta dei miei compagni d’arme, come ho detto altre volte)

LA FONTAINE. – Eûtes-vous point révélation d’aller au Pont-Levêque ?
(Aveste la rivelazione di andare al Pont- Levêque ?)
JEANNE. – Depuis que j’eus révélation à Melun que je serais prise, je m’en rapportai le plus du fait de la guerre à la volonté des capitaines. Toutefois je ne leur disais point que j’avais révélation d’être prise.
(Dopo che ebbi la rivelazione che sarei stata catturata a Melun, mi rimisi ai capitani, per tutte le decisioni di carattere militare. Tuttavia, io dissi loro che stavo per essere catturata)

LA FONTAINE. – Fut-ce bien fait, au jour de la Nativité de Notre Dame, alors qu’il était fête, d’aller assaillir Paris ?
(Fu giusto di andare all’assalto di Parigi, il giorno della Natività di Maria ?)
(Nota 7 – Il solito clericale leguleio!)

 

Giovanna d'Arco (2) Domrémy, paese natale della Pucelle

Giovanna d’Arco (2) Domrémy, paese natale della Pucelle

 

JEANNE. – C’est bien fait de garder les fêtes de Notre Dame. En ma conscience il me semble que c’était et serait bien fait de garder les fêtes de Notre Dame, depuis un bout jusqu’à l’autre.
(E’ giusto rispettare le feste di Maria, da parte di tutti)

LA FONTAINE. – Ne dîtes-vous point devant la ville de Paris : « Rendez la ville de par Jésus » ? (Non diceste davanti alla città di Parigi : “ Restituite la città che é di Gesù ?”)JEANNE. – Non, mais j’ai dit : Rendez-la au roi de France.
(No, io dissi : Rendetela al Re di Francia !)

Continua

La Francia di Jeanne. La Francia unita esiste grazie a una combattente diciassettenne, contadina, e illetterata, che, per premio di questa sua impresa, ebbe...il rogo!

La Francia di Jeanne. La Francia unita esiste grazie a una combattente diciassettenne, contadina e illetterata, che, per premio di questa sua impresa, ebbe…il rogo!

 

 

 

 

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